2e cycle de conférences sur l’animation japonaise avec Ilan Nguyên
Pour la deuxième année consécutive, le Grand Atelier d’animation japonaise organisé par la NEF Animation, l’Agence culturelle Grand Est et le CEEJA, se déroulera sous la forme d’un cycle de conférences en ligne (en visio-conférence), sur une base hebdomadaire du 19 novembre au 17 décembre 2021.
Après avoir proposé l’an dernier un panorama du cinéma japonais d’animation depuis les origines, Ilan Nguyên, Maître de conférences associé à l’Université des Arts de Tôkyô, focalisera cette année le propos sur le dessin animé japonais commercial, au cours d’un nouveau cycle de cinq conférences.
Ces cinq conférences se dérouleront sur cinq demi-journées (les vendredis matin des 19 et 26 novembre, 3, 10 et 17 décembre, de 9h à 13h) et seront dédiées au dessin animé commercial (production de studio destinée au grand public, telle qu’elle existe au Japon depuis la fin des années 1950) en suivant ses orientations historiques majeures tout comme certains de ses aspects méconnus, sur la base de sources, documents et témoignages de première main.
Ce second cycle de conférences s’inscrit en complément et en approfondissement du cycle précédent (« Une cartographie du cinéma japonais d’animation »), tout en restant accessible aux personnes n’ayant pas assisté aux conférences de l’an passé.
Seront abordés notamment : les origines et évolutions du dessin animé commercial, de la création du studio d’animation de Tôei à nos jours, le dessin animé télévisé de série, le phénomène de l’anime boom et ses répercussions, et les œuvres de plusieurs générations de créateurs (de TEZUKA à SHINKAI en passant par ÔTOMO) et des auteurs majeurs (TAKAHATA, MIYAZAKI, DEZAKI, OSHII, KON, YUASA…).
Ce séminaire exceptionnel se tiendra en ligne (en visioconférence), sur inscription. Les inscriptions se font sur le site culturegrandest.fr. Les tarifs de participation sont : 80 euros pour le cycle entier (recommandé) ou 18 euros par conférence / jour.
Le Grand Atelier d’animation japonaise bénéficie du soutien de la SACD et de la Fondation pour l’Étude de la Langue et de la Civilisation Japonaises.